Mark Williams
Pour Harry Potter, aviez-vous lu quelques uns des livres avant d'être choisi ?
MW:Oui, je les avais lus avant d'être choisi et j'étais un fan en quelques sortes, même si ça me gênait un peu. J'ai été voir mon agent et lui ai demandé :"Quelqu'un va-t-il en faire des films ? J'aimerais bien y participer". Je savais qui était Arthur Weasley, et je sais qui je suis. Je savais que je pouvais le faire. J'avais été dans les 101 Dalmatiens, The Borrowers et Shakerpeare in Love... et je ressentais comme une sorte de lien.
Jusqu'où vous a-t-on permis d'aller pour façonner Arthur Weasley comme vous vouliez qu'il soit?
MW:Et bien, dans le livre il a une calvitie naissante, j'ai donc demandé à Chris Columbus : " Tu veux que je me rase la tête ou que je fasse quelque chose ?" et il m'a répondu : " Non ! Non, ne fais pas ça !" Il m'a regardé et m'a dit : " Ne prends pas tout au mot !" JK Rowling n'a rien dit à ce propos. Elle a permis aux films de se développer en parallèle des livres, mais elle n'a pas pour autant changer les caractéristiques des livres... Et avec Les Reliques de la mort, j'ai pensé pour la première fois que le travail de Steve Kloves devenait de plus en plus difficile. Mais séparer le dernier livre en deux films est une bonne chose. J'adore cette idée et pas seulement parce que j'y suis dedans. JK Rowling a un cerveau si mathématique, ou mieux encore, un cerveau musical et tous les thèmes et les mélodies ont été résolues dans le dernier livre.
MW:Oui, je les avais lus avant d'être choisi et j'étais un fan en quelques sortes, même si ça me gênait un peu. J'ai été voir mon agent et lui ai demandé :"Quelqu'un va-t-il en faire des films ? J'aimerais bien y participer". Je savais qui était Arthur Weasley, et je sais qui je suis. Je savais que je pouvais le faire. J'avais été dans les 101 Dalmatiens, The Borrowers et Shakerpeare in Love... et je ressentais comme une sorte de lien.
Jusqu'où vous a-t-on permis d'aller pour façonner Arthur Weasley comme vous vouliez qu'il soit?
MW:Et bien, dans le livre il a une calvitie naissante, j'ai donc demandé à Chris Columbus : " Tu veux que je me rase la tête ou que je fasse quelque chose ?" et il m'a répondu : " Non ! Non, ne fais pas ça !" Il m'a regardé et m'a dit : " Ne prends pas tout au mot !" JK Rowling n'a rien dit à ce propos. Elle a permis aux films de se développer en parallèle des livres, mais elle n'a pas pour autant changer les caractéristiques des livres... Et avec Les Reliques de la mort, j'ai pensé pour la première fois que le travail de Steve Kloves devenait de plus en plus difficile. Mais séparer le dernier livre en deux films est une bonne chose. J'adore cette idée et pas seulement parce que j'y suis dedans. JK Rowling a un cerveau si mathématique, ou mieux encore, un cerveau musical et tous les thèmes et les mélodies ont été résolues dans le dernier livre.
Sources : Pottersphère