Lord Voldemort
Harry Potter à l’école des sorciers :
· (Voldemort à Harry.) Il n'y a pas de bien ni de mal, il n'y a que le pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour le rechercher...
· Comme c'est émouvant... siffla-t-il. J'apprécie toujours le courage... Oui, mon garçon, tes parents ont été courageux... J'ai d'abord tué ton père et il m'a résisté avec une grande bravoure... Quant à ta mère, je n'avais pas prévu qu'elle meure... mais elle essayait de te protéger... Alors donne-moi la Pierre sinon, elle sera morte en vain.
Harry Potter et la chambre des secrets :
· Voldemort, dit Jedusor d'une voix douce, est à la fois mon passé, mon présent et mon avenir, Harry Potter...
· Soit. Ta mère est morte pour te sauver. Une puissante manière de conjurer le sort. Mais maintenant, je vois bien que tu n'as rien de si extraordinaire, après tout. Je me demandais, vois-tu... Car il y a une étrange ressemblance entre nous, Harry Potter. Même toi, tu as dû le remarquer. Nous avons tous les deux du sang moldu, nous sommes tous deux orphelins, élevés par des Moldus. Et probablement les deux seuls élèves de Poudlard qui aient jamais parlé Fourchelang depuis le temps du grand Serpentard lui-même. Même physiquement, nous nous ressemblons... Mais finalement, ce qui t'a sauvé face à moi, c'est la chance, rien d'autre. Voilà tout ce que je voulais savoir.
Harry Potter et la coupe de feu :
· Bien entendu, vous savez qu'on attribue ma chute à ce garçon, poursuivit Voldemort, ses yeux rouges fixés sur Harry dont la cicatrice le brûlait si férocement qu'il aurait presque crié de douleur. Vous savez tous que, la nuit où j'ai perdu mes pouvoirs et mon corps, j'avais essayé de le tuer. Sa mère est morte en voulant le sauver et, sans le savoir, elle lui a ainsi assuré une protection que je n'avais pas prévue, je le reconnais... Il m'était impossible de toucher ce garçon. Voldemort leva un de ses longs doigts et l'approcha tout près de la joue de Harry.
· Maintenant, affronte-moi comme un homme... Droit et fier, comme est mort ton père... Allez, en garde !
Harry Potter et l’Ordre du Phénix :
· Tu ne cherches pas à me tuer, Dumbledore ? lança Voldemort, ses yeux écarlates plissés au-dessus de son bouclier. Tu ne t'abaisses pas à de telles brutalités, n'est-ce pas ?
Harry Potter et Le Prince de Sang-mêlé :
· Je peux attirer des ennuis aux gens qui me déplaisent. Leur faire du mal, si j'en ai envie
· La grandeur inspire l'envie, l'envie engendre le dépit, le dépit répand le mensonge