L'histoire de Poudlard
Poudlard est une ecole de sorcellerie fondée au Moyen-Age par quatre puissants sorciers désireux d’enseigner l’art de la magie en Grande-Bretagne. Ces fondateurs sont Salazar Serpentard, Rowena Serdaigle, Helga Poufsouffle et Gofric Gryffondor.
Chaque fondateur s’occupait d’un groupe d’élèves qu’ils sélectionnaient selon leur préférence : Gryffondor prenait les courageux, Serpentard les sorciers de noble naissance, Serdaigle les intelligents, et Poufsouffle, les loyaux.
Les débuts étaient prometteurs. Godric et Salazar étaient amis, de même que Rowena et Helga. Pourtant, des dissensions apparurent progressivement au sein de ces amis, chacun voulant imposer les qualités qu’il jugeait primordiales. La tension devenant de plus en plus forte, Salazar Serpentard décida de se retirer de Poudlard.
L’école continua de fonctionner, mais l’union était brisée. Godric Gryffondor retira son chapeau, et chaque fondateur y incorpora une partie de son esprit : ainsi, bien après leur disparition, ils pourraient continuer à répartir les élèves entre les différentes maisons, qui prirent leur nom.
La répartition fait l’objet d’une cérémonie : les nouveaux élèves attendent dans une file. Le Choixpeau Magique entame alors une chanson, qu’il a composée l’année précédente. La plupart du temps, il s’agit uniquement de décrire les différentes maisons, mais il lui arrive, en temps de trouble, de donner des conseils. Enfin, chaque élève est appelé l’un après l’autre, et revêt le chapeau qui indique la maison qui sera la sienne durant son apprentissage.
L’Hymne de Poudlard
L’Hymne de Poudlard peut etre chante sur n’importe quel air souhaite.
Poudlard, Poudlard, Pou du Lard du Poudlard,
Apprends-nous ce qu’il faut savoir,
Que l’on soit jeune ou vieux ou chauve
Ou qu’on ait les jambes en guimauve,
On veut avoir la tete bien pleine
Jusqu’a en avoir la migraine
Car pour l’instant c’est du jus d’ane,
Qui mijote dans nos cranes,
Oblige-nous a tout etudier,
Repete-nous c’qu’on a oublie,
Fais de ton mieux, qu’on se surpasse
Jusqu’a c’que nos cerveaux crient grace